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7 conseils pour que votre triathlon se passe dans les meilleurs conditions

Un triathlon, ça se prépare. Physiquement et mentalement. C’est un exercice fatigant pour le corps, qui est soumis à rude épreuve durant de longues heures. Ajoutez à ça les températures parfois fraîches de l’eau : impossible de débarquer le jour de la course sans une vraie préparation !

photo © GettyImages

En tant que partenaire majeur de la 10ème édition du "Triathlon de Dinard Côte d'Emeraude 2022" et de la course "Triathlon Découverte - Aésio Mutuelle", Aésio vous rappelle ici, avec l'aide de ses experts prévention, tout ce qu’il FAUT FAIRE pour réussir un triathlon.

Vous trouverez un plan d’entraînement complet sur 4 à 10 semaines pour préparer votre épreuve, sur le site de la course.

7 conseils pour faire un bon triathlon

1. Ne pas se fixer de temps ou d'allure, surtout si c’est son premier triathlon

Les épreuves du triathlon seront parfois difficiles : température de l’eau fraîche, dénivelés parfois raides… C’est pour cela qu’en triathlon votre rythme peut se trouver modifié.

Alors, grâce à votre entrainement, vous serez en capacité de vous fixer le temps et l’allure adaptés à votre niveau, pour vous permettre de profiter de l’épreuve.

2. Ne pas faire un départ trop rapide

Nous avons plusieurs fois été surpris par le départ très rapide de certains. Comme dans toutes les courses d’endurance, il est très important de gérer son effort sur la durée. Cependant, en triathlon, on peut facilement se faire avoir.

A cause de l’enchaînement d’activités (1500 m de nage, 40 km de vélo et 10 km à pied)… on peut avoir tendance de foncer dès la première épreuve… mais attention ; l’addition de toutes ces épreuves et les transitions sont très coûteuses en énergie !

Gardez à l’esprit que cette course va durer plusieurs heures et que la gestion de l’effort est primordiale.

3. Partir avec un ravitaillement

Même si les distances entre chaque ravitaillement vous semblent minimes, la durée d’effort peut dépasser les deux heures.

Face à l’effort vous pouvez rapidement vous déshydrater. Si vous ajoutez à cela une température de l’air supérieure à 20°, un peu de soleil et du dénivelé, il est fortement recommandé de prendre de l’eau sur vous. En fonction de la distance entre les ravitaillements, 500 ml d’eau dans une petite flasque souple que vous glissez dans votre combinaison peut être suffisant. Vous pourrez aussi prendre des barres ou gels énergétiques en cas de fringale !

Ne jetez rien par terre, sous peine de disqualification ! 

4. Tester son matériel en amont de la course

Ne partez pas sans connaître le matériel que vous aurez le jour J. Il ne doit pas être une gêne ou un fardeau, il constitue une aide précieuse. Familiarisez-vous avec lui lors des entraînements spécifiques de triathlon.

Un petit conseil, n’hésitez pas à mettre un peu de vaseline pour éviter les irritations ;)

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5. Ne pas rester immobile

La mer sera peut-être un peu fraîche en cette fin d’été, alors, à la fin de l’épreuve de natation pour ne pas se refroidir et perdre d’énergie, bougez tout en gardant votre combinaison fermée, jusqu’à retrouver le point de transition pour vous équiper en mode cycliste !

6. Etudier les caractéristiques de course

Certains tracés sont assez techniques, d’autres peuvent présenter des dénivelés importants. Et la température de la Manche risque d’être moins élevée que la mer des Caraïbes…

Chaque triathlon a ses propres caractéristiques, et l’étude du parcours et des conditions météorologiques avant le départ vous apportera des clés pour la réussite de l’épreuve.
Les triathlètes sont mis à rude épreuve par la nature et vous devrez rester unis et vous surpasser afin d’atteindre la ligne d’arrivée.

7. Préparer ses transitions

Ne sous-estimez surtout pas les changements de températures importants que vous pourrez ressentir lors de la phase de transition entre l’épreuve de natation et celle de vélo. Ils demanderont à votre corps un vrai effort de thermorégulation et donc une dépense énergétique supplémentaire. D’où l’importance du ravitaillement ! 

Autre élément de la transition nage / vélo : c’est celui du changement de tenue ! A la manière des sapeurs-pompiers, vous devrez ôter votre combinaison mouillée le plus vite possible pour enfiler votre équipement de vélo : casque, dossard, lunettes, chaussures… Entraînez-vous quelques fois avant l’épreuve, cela vous permettra de gagner quelques secondes.

S’en suit la transition vélo / course à pied. Cette transition pourra être travaillée tout au long de votre préparation sur différents aspects.

Du point de vue physiologique, vous amènerez votre corps à gérer au mieux une transition d’un sport porté (le vélo), à un sport debout (la course). Sur le plan sensoriel, cela vous permettra d’appréhender un début de course pas si facile et donc à une bonne allure. Alors, ne partez pas trop vite ! 

Notre dernier conseil : ne pas faire l’impasse sur la période de récupération active !

Le jour J, pensez à regarder le paysage. Le Triathlon de Dinard vous propose un parcours dans une Bretagne magnifique et grandiose... alors souriez et profitez à fond.

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