Observatoire de l’accès à la santé des femmes dans les territoires

Les femmes rencontrent encore trop de difficultés d'accès aux soins, tout au long de leur vie. De plus, les diagnostics et dépistages auxquelles elles sont soumises sont souvent restreints aux pathologies spécifiquement féminines, écartant souvent les pathologies cardiovasculaires ou pulmonaires.
Résoudre ces inégalités nécessite de mieux comprendre les obstacles que les femmes rencontrent : c'est l'objectif du baromètre territorial mis en place par AÉSIO mutuelle.
Baromètre Aésio - Santé des femmes en territoire, Marylou Faure

© illustration - Marylou Faure

Les résultats de l’Observatoire

L'étude¹ inédite lancée par AÉSIO mutuelle avec Harris Interactive entend mettre en lumière les résultats spécifiques de l'accès des femmes à la santé.
Cet « Observatoire de l’accès à la Santé des femmes dans les territoires », mené auprès de plus de 2.000 femmes, permet de tirer 4 enseignements primordiaux :

  1. L’accès aux soins est un parcours difficile
  2. S’informer : les médecins et les complémentaires santé en première ligne
  3. Le cancer, toutes sont concernées mais peu informées
  4. Activité physique et alimentation saine : des efforts à faire.

Santé des femmes : un enjeu social essentiel  

Éviter les comportements à risque

Le tabac et l’alcool sont responsables de l’augmentation de la mortalité des femmes par cancer du poumon, du foie et du pancréas : des décès dus à des comportements à risque que l’on pourrait facilement éviter. D’autre part, les problèmes de sommeil, l’anorexie mentale et la consommation de stupéfiants connaissent un fort développement chez les adolescentes et les jeunes femmes, quelles que soient leurs origines sociales. Fortement médiatisés, ces troubles occasionnent de nombreux symptômes.

Promouvoir la santé sexuelle et le suivi de grossesse

Le taux de renoncement aux soins pour raisons financières reste important chez les femmes en matière de santé sexuelle, comme le montre le rapport Aésio - Harris Interactive. Sans compter les inégalités sociales croissantes, notamment en termes de suivi de grossesse : l’accès aux traitements et aux conseils reste compliqué pour de nombreuses patientes. 

Prévenir les maladies chroniques

En France, le cancer du sein est le plus fréquent chez les femmes et la première cause de mortalité par cancer. Pourtant, s’il est détecté à temps, il bénéficie d’un excellent taux de guérison : 9 patientes sur 10 ! D’autres pathologies chroniques comme le cancer du col de l’utérus et du cancer colorectal font désormais l’objet de programmes de dépistage gouvernementaux. Pour autant, le rapport fait apparaître un manque d’information évident chez les populations concernées.   

Parmi les maladies souvent sous-estimées chez les femmes, on trouve également les maladies cardio-vasculaires qui sont souvent insuffisamment prises en charge. Pourtant, l’angine de poitrine (angor), l’infarctus du myocarde, les AVC et thromboses (formation de caillots, surtout après la ménopause) sont des maladies cardiovasculaires observées chez les femmes. L’Organisation Mondiale de la Santé a lancé une alerte concernant les maladies cardio-vasculaires pour les 20 prochaines années. Chaque jour, elles tuent 200 femmes en France et 25 000 dans le monde. Pourtant, 8 accidents cardio-vasculaires sur 10 sont évitables et notamment en prenant soin de votre santé au quotidien !

Améliorer le diagnostic et le traitement de l’endométriose

Difficile à appréhender du fait de ses symptômes variables, cette maladie peut impacter négativement la qualité de vie (arrêts de travail fréquents, hospitalisations). La journée mondiale de l’endométriose a lieu le 26 mars. Elle contribue à faire connaître cette pathologie encore taboue et à prodiguer des conseils aux femmes touchées. AÉSIO Mutuelle brise le tabou de cette maladie et aide les femmes touchées à obtenir le soutien dont elles ont besoin.

Les résultats de l’étude, menée tant au niveau national que régional, donnent des clés aux élus territoriaux pour agir au plus près des besoins des femmes et les accompagner tout au long de leur parcours de santé en menant les actions de prévention santé adéquates

Réalisée sur l’ensemble du territoire, elle fait apparaître peu de variations d’une région à l’autre, mais des clivages davantage marqués par la situation des répondantes (ruralité/urbanité, revenus, âge).

¹ Enquête réalisée en ligne, sur un échantillon de 2.186 femmes représentatif de la population française féminine âgée de 15 ans et plus.
Enquête Harris Interactive – septembre 2021

La charge mentale des femmes en chiffres

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Territoire Ain, Rhône, Isère, Haute-Savoie

Encore trop de femmes renoncent à se faire soigner

  • 1 femme sur 4 trouve difficile d’accéder aux soins.
  • 59% des femmes ont déjà dû renoncer à des soins.

- Un accès difficile, et encore plus en milieu rural
Près d’1 femme sur 4 juge que les consultations ou les examens médicaux leur sont difficilement accessibles (23%). En zone rurale à l’échelle nationale, elles sont au moins 1 sur 3 à avoir ce sentiment (37%*).

- Pour s’informer, les femmes se tournent vers les prescripteurs de santé
85% des femmes font confiance à leur complémentaire santé pour les informer sur leur santé. Une confiance presque aussi forte que celle qu’elles accordent à leur médecin généraliste ou traitant (96%). En revanche, 58% des femmes ne font pas confiance aux informations trouvées sur Internet.

Cancer : toutes concernées, pas assez informées

- Pas assez informées
Si une grande majorité des femmes sont concernées par le cancer, qu’elles ou leurs proches en soient atteints, 35% se sentent pourtant encore mal informées sur les facteurs de risques liés à cette pathologie. Ce manque d’information est plus prononcé chez les femmes de 15 à 24 ans : 43% d’entre elles se disent mal informées contre 19% des femmes de 65 ans et plus*.

- Dépister le cancer, une question d’âge
Si certaines femmes profitent des dispositifs de prévention et dépistage qui leur sont proposés, d’autres n’ont pas l’intention d’y avoir recours.
Leurs motivations varient selon leur âge :
- 58% des femmes de moins de 35 ans estiment qu’elles n’ont pas atteint l’âge requis de se faire dépister, contre 4% des femmes de 50 et plus*
- 1 femme sur 2, de 50 ans ou plus, dit ne pas souhaiter effectuer un dépistage, contre 23% chez les moins de 35 ans*.

Lorsqu’elles souhaitent se faire dépister, les femmes semblent prioriser les cancers féminins : 73% ont l’intention de réaliser un dépistage du cancer du sein dans les 3 prochaines années et 68% un dépistage du cancer du col de l’utérus. Seules 43% d’entre elles prévoient de réaliser un dépistage du cancer colorectal.

- Agir pour mieux prévenir
AÉSIO mutuelle organise et participe à de nombreux événements pour sensibiliser les femmes à la prévention du cancer et soutenir les associations locales. En tant que partenaire des marches et courses roses contre le cancer qui se déroulent sur tout le territoire, notamment à Annemasse, Grenoble, Lyon ou encore Voiron et par le parrainage des matches sportifs, nous allons à la rencontre des femmes pour les informer sur les facteurs de risques liés au cancer et l’importance du dépistage.

- Accéder aux soins, un parcours difficile
Lorsque la maladie se déclare, près de la moitié des femmes déclarent qu’il est difficile d’obtenir un rendez-vous avec un oncologue (46%).
Quant à l’accès aux soins dits de support qui leur permettent de mieux vivre leur pathologie, plus d’une femme sur 2 estiment qu’il est difficile d’en bénéficier pour des raisons financières notamment.

Des aides spécifiques pour mieux vivre la maladie

Sur le territoire Ain, Rhône, Isère, Savoie et Haute-Savoie, AÉSIO mutuelle a mis en place un dispositif comprenant une aide financière et des ateliers d’échanges pour aider les personnes atteintes d’un cancer dans leur vie quotidienne, du parcours de soins à la reconstruction.

Manque d’activité sportive et qualité d’alimentation, dépendante des revenus

Pour plus d’1 femme sur 4, l’activité sportive n’est pas une habitude. 26% des femmes des femmes n’en font jamais ou en pratiquent moins d’une fois par mois. Les femmes disposant de hauts revenus sont plus enclines à faire du sport régulièrement : 83% d’entre elles pratiquent au moins 1 fois par mois contre 73% tous revenus confondus*.

- Si les jeunes sont plus actifs, les moins jeunes ont une alimentation plus saine : 
83% des femmes de 15 à 24 ans pratiquent une activité physique au moins 1 fois par mois contre 66% pour les 65 ans et plus*
41% des femmes trouvent qu’il est difficile de consommer 5 fruits et légumes par jour. Respecter ces quantités journalières est plus facile pour les femmes de 65 ans et plus (72%) que pour les 15-24 ans (58%)*.
Au niveau national, les femmes aux revenus élevés ont plus facilement accès à une alimentation saine. C’est ce que déclarent 70% d’entre elles*.

- Mieux bouger pour vivre mieux
AÉSIO mutuelle est partenaire de nombreux clubs sportifs de proximité qui jouent un rôle important en matière de promotion de la santé. Elle soutient notamment les clubs de basket-ball JL Bourg Basket (01) et d’aviron Drôles de rames d’Annecy (74). Elle parraine également le trophée de la Grande Odyssée Savoie Mont-Blanc, course de chiens de traineau de renommée internationale.

    * Résultats à l’échelle nationale


 

Territoire Ardèche, Drôme

Encore trop de femmes renoncent à se faire soigner

  • 1 femme sur 4 trouve difficile d’accéder aux soins.
  • 77% ont déjà dû renoncer à des soins

- Un accès difficile aux soins, encore plus en milieu rural
Près d’1 femme sur 2 jugent que les consultations ou les examens médicaux leur sont difficilement accessibles (42%). En zone rurale à l’échelle nationale, elles sont au moins 1 sur 3 à avoir ce sentiment (37%*).

Les femmes rencontrent surtout des difficultés à obtenir un rendez-vous. C’est le cas pour plus de 3 femmes sur 4 (82%) interrogées dans le territoire Ardèche, Drôme. Ce sont surtout les femmes de 25 à 34 ans et celles disposant de revenus élevés qui sont particulièrement touchées par ce problème (86% des femmes de 25 à 34 ans et 87% des femmes disposant de revenus élevés*).

- Pour s’informer, les femmes font confiance aux prescripteurs de santé
79% des femmes font confiance à leur complémentaire santé pour les informer sur leur santé. Une confiance presque aussi forte que celle qu’elles accordent à leur médecin généraliste ou traitant (94%). En revanche, 65% des femmes ne font pas confiance aux informations trouvées sur Internet.

Cancer : toutes concernées, pas assez informées

- Pas assez informées
Si une grande majorité des femmes sont concernées par le cancer, qu’elles ou leurs proches en soient atteints, 34% se sentent pourtant encore mal informées sur les facteurs de risques liés à cette pathologie. Ce manque d’information est plus prononcé chez les femmes de 15 à 24 ans : 43% d’entre elles se disent mal informées contre 19% des femmes de 65 ans et plus*.

Agir pour mieux prévenir

AÉSIO mutuelle Ardèche Drôme soutient les marches et courses roses qui ont lieu en octobre dans plusieurs localités du territoire, afin d’informer sur le cancer et ses facteurs de risques.
Très actifs dans les actions de lutte contre le cancer, les élus du territoire n’ont pas hésité à s’impliquer personnellement dans un challenge cycliste pour sensibiliser à cette pathologie et promouvoir l’activité pour tous. Ils ont parcouru 312 km à vélo et traversé 5 départements pour aller à la rencontre du public et soutenir les associations locales qui luttent activement contre le cancer.

- Dépister le cancer, une question d’âge
Si certaines femmes profitent des dispositifs de dépistage qui leur sont proposés, d’autres n’ont pas l’intention d’y avoir recours.
Leurs motivations varient selon leur âge : 58% des femmes de moins de 35 ans estiment qu’elles n’ont pas atteint l’âge requis de se faire dépister, contre 4% des femmes de 50 et plus*.
1 femme sur 2, de 50 ans ou plus, dit ne pas souhaiter effectuer un dépistage, contre 23% chez les moins de 35 ans*.

Lorsqu’elles souhaitent se faire dépister, les femmes semblent prioriser les cancers féminins :
- 72% ont l’intention de réaliser un dépistage du cancer du sein dans les 3 prochaines années et 65% un dépistage du cancer du col de l’utérus
- seules 34% d’entre elles prévoient de réaliser un dépistage du cancer colorectal.

- Accéder aux soins, un parcours difficile
Lorsque la maladie se déclare, près de la moitié des femmes déclarent qu’il est difficile d’obtenir un rendez-vous avec un oncologue (47%).
Quant à l’accès aux soins dits de support, qui leur permettent de mieux vivre leur pathologie, plus d’une femme sur 2 estiment qu’il est difficile d’en bénéficier pour des raisons financières notamment.

Manque d’activité sportive et qualité d’alimentation, une question de revenus

- Pour près d’1 femme sur 4, l’activité sportive n’est pas une habitude. 23% des femmes des femmes n’en font jamais ou en pratiquent moins d’une fois par mois. La pratique régulière du sport semble plus installée chez les femmes à revenus élevés : 83% d’entre elles pratiquent une activité physique au moins 1 fois par mois, contre 73% des femmes tous niveaux de revenus confondus*.

- Promouvoir le sport santé : une nécessité
Très engagée dans le sport féminin, AÉSIO mutuelle soutient le club de hand des Abeilles de Bourg de Péage, dans leur ascension au niveau national, et profite de leurs événements sportifs pour valoriser le sport santé et mettre en place des actions de prévention.

- Si les jeunes sont plus actifs, les moins jeunes ont une alimentation plus saine : 
83% des femmes de 15 à 24 ans pratiquent une activité physique au moins 1 fois par mois contre 66% pour les 65 ans et plus*.
51% des femmes trouvent qu’il est difficile de consommer 5 fruits et légumes par jour. Au niveau national, respecter ces quantités journalières est plus facile pour les femmes de 65 ans et plus (72%) que pour les 15-24 ans (58%)*.
Les femmes aux revenus élevés ont plus facilement accès à une alimentation saine. C’est ce que déclarent 70% d’entre elles*.

- Des ateliers ludiques pour manger sain, avec plaisir !
Depuis 7 ans, AÉSIO mutuelle Ardèche Drôme se mobilise chaque année pour mener des actions de prévention auprès des enfants à l’occasion de la semaine nationale de Fête des fruits et légumes de Montélimar. Au menu : des ateliers pédagogiques et ludiques pour donner aux enfants, dès leur plus jeune âge, et à leurs parents, l’envie de cuisiner des fruits et légumes frais.

    * Résultats à l’échelle nationale


 

Territoire Auvergne, Loire

Des femmes encore trop nombreuses à ne pas se soigner

  • 1 femme sur 4 trouve difficile d’accéder aux soins.
  • 57% des femmes ont déjà dû renoncer à des soins

- Un accès aux soins difficile, particulièrement en milieu rural
Plus d’1 femme sur 4 en région Auvergne Loire juge que les consultations ou les examens médicaux sont difficiles d'accès (29%). En zone rurale à l’échelle nationale, elles sont au moins 1 sur 3 à avoir ce sentiment (37%*).

- Pour s’informer, les femmes se tournent vers les prescripteurs de santé
83% des femmes font confiance à leur complémentaire santé pour les informer sur leur santé. Une confiance presque aussi forte que celle qu’elles accordent à leur médecin généraliste ou traitant (94%). En revanche, 59% des femmes ne font pas confiance aux informations trouvées sur Internet. 

Cancer : toutes concernées, pas assez informées

- Pas assez informées
Si une grande majorité des femmes sont concernées par le cancer, qu’elles ou leurs proches en soient atteints, 29% se sentent encore mal informées sur les facteurs de risques liés à cette pathologie. Ce manque d’information est plus prononcé chez les femmes de 15 à 24 ans : 43% d’entre elles se disent mal informées, contre 19% des femmes de 65 ans et plus*.

- Prévenir, dépister, soigner pour lutter contre le cancer
AÉSIO mutuelle Auvergne, Loire s’engage aux côtés de partenaires de référence pour lutter contre tous les cancers. Les combattre, c’est relever le défi de la prévention, du dépistage et du soin par des actions sur le terrain auprès de tous les publics.

- Dépister le cancer, une question d’âge
Si certaines femmes profitent des dispositifs de dépistage qui leur sont proposés, d’autres ne souhaitent pas y avoir recours. Leurs motivations varient selon leur âge : 58% des femmes de moins de 35 ans estiment qu’elles n’ont pas atteint l’âge requis de se faire dépister, contre 4% des femmes de 50 et plus*.
1 femme sur 2, de 50 ans ou plus, dit ne pas souhaiter effectuer un dépistage, contre 23% chez les moins de 35 ans*.

Lorsqu’il est question d’effectuer un dépistage, les femmes semblent prioriser les cancers féminins :
- 78% ont l’intention de réaliser un dépistage du cancer du sein dans les 3 prochaines années et 65% un dépistage du cancer du col de l’utérus
- seules 57% d’entre elles prévoient de réaliser un dépistage du cancer colorectal.

Le cancer colorectal n’est pas une question de genre

Même si les femmes pensent plus spontanément au dépistage des cancers du sein ou du col de l’utérus, prévenir le cancer colorectal est également une priorité.
En effet, cette forme de cancer touche presque tout autant les femmes que les hommes. Dans le cadre de la campagne d’information Mars bleu, mois dédié à la mobilisation contre le cancer colorectal, AÉSIO mutuelle unit ses forces à celles des clubs sportifs locaux : les clubs de basket-ball Vichy-Clermont Métropole et Saint-Chamond basket Vallée du Gier ont encouragé leur public à se faire dépister, en partenariat avec le Centre Régional de Coordination des Dépistages des Cancers Auvergne Rhône-Alpes (CRCDC AuRA).

- Accéder aux soins, un parcours difficile
Lorsque la maladie se déclare, près de la moitié des femmes du territoire Auvergne Loire déclarent qu’il est difficile d’obtenir un rendez-vous avec un oncologue (41%).
Quant à l’accès aux soins dits "de support" qui leur permettent de mieux vivre leur pathologie, plus d’une femme sur 2 estiment qu’il est difficile d’en bénéficier pour des raisons financières.

Manque d’activité sportive et qualité d’alimentation dépendante des revenus

- Pour plus d’une femme sur 4, l’activité sportive n’est pas une habitude. 29% des femmes n’en font jamais ou en pratiquent moins d’une fois par mois. Les femmes disposant de hauts revenus sont plus enclines à faire du sport régulièrement : 83% d’entre elles pratiquent un sport au moins 1 fois par mois, contre 73%, tous revenus confondus*.

- Si les jeunes sont plus actifs, les moins jeunes ont une alimentation plus saine
83% des femmes de 15 à 24 ans pratiquent une activité physique au moins 1 fois par mois contre 66% pour les 65 ans et plus*.
32% des femmes trouvent qu’il est difficile de consommer 5 fruits et légumes par jour. Respecter ces quantités journalières est plus facile pour les femmes de 65 ans et plus (72%) que pour les 15-24 ans (58%)*.
Au niveau national, les femmes aux revenus élevés ont plus facilement accès à une alimentation saine. C’est ce que déclarent 70%* d’entre elles.

    * Résultats à l’échelle nationale


 

Territoire Centre-Ouest, Ile-de-France

Encore trop de femmes renoncent à se faire soigner

  • 1 femme sur 4 trouve difficile d’accéder aux soins.
  • 62% des femmes ont déjà dû renoncer à des soins

- Un accès difficile, et encore plus en milieu rural
Plus d’1 femme sur 4 en région Centre-Ouest, Île-de-France juge que les consultations ou les examens médicaux sont difficilement accessibles (27%). En zone rurale à l’échelle nationale, elles sont au moins 1 sur 3 à avoir ce sentiment (37%)*.

- Les femmes rencontrent surtout des difficultés à obtenir un rendez-vous. C’est le cas pour plus de 3 femmes sur 4 (78%) interrogées dans le territoire Centre-Ouest, Île-de-France. Ce sont surtout les femmes de 25 à 34 ans et celles disposant de revenus élevés qui sont particulièrement touchées par ce problème (86% femmes de 25 à 34 ans et 87% des femmes disposant de revenus élevés*).

- Pour s’informer, les femmes se tournent vers les prescripteurs de santé
82% des femmes font confiance à leur complémentaire santé pour les informer sur leur santé. Une confiance presque aussi forte que celle qu’elles accordent à leur médecin généraliste ou traitant (94%). En revanche, 59% des femmes ne font pas confiance aux informations trouvées sur Internet.

Cancer : toutes concernées, pas assez informées

- Pas assez informées
Si une grande majorité des femmes sont concernées par le cancer, qu’elles ou leurs proches en soient atteints, 29% se sentent pourtant encore mal informées sur les facteurs de risques liés à cette pathologie. Ce manque d’information est plus prononcé chez les femmes de 15 à 24 ans : 43% d’entre elles se disent mal informées, contre 19% des femmes de 65 ans et plus*.

- Prévenir, dépister, soigner pour lutter contre le cancer
AÉSIO mutuelle Centre-Ouest, Île-de-France s’engage aux côtés de partenaires de référence pour lutter contre tous les cancers. Les combattre, c’est relever le défi de la prévention, du dépistage et du soin par des actions sur le terrain auprès de tous les publics. Nous sommes notamment partenaires des Demoiselles du Bugatti, une course solidaire organisée chaque année au profit de la lutte contre le cancer du sein et du Rallye des Deuch’S qui parcourt toute la France pour sensibiliser à la prévention des cancers féminins.

- Dépister le cancer, une question d’âge
Si certaines femmes profitent des dispositifs de dépistage qui leur sont proposés, d’autres ne souhaitent pas y avoir recours. Leurs motivations varient selon leur âge : 58% des femmes de moins de 35 ans estiment qu’elles n’ont pas atteint l’âge requis de se faire dépister, contre 4% des femmes de 50 et plus*.
1 femme sur 2, de 50 ans ou plus, dit ne pas souhaiter effectuer un dépistage, contre 23% chez les moins de 35 ans*.

Lorsqu’il est question d’effectuer un dépistage, les femmes semblent prioriser les cancers féminins :
- 77% ont l’intention de réaliser un dépistage du cancer du sein dans les 3 prochaines années et 61% un dépistage du cancer du col de l’utérus
- seules 48% d’entre elles prévoient de réaliser un dépistage du cancer colorectal. 

- Accéder aux soins, un parcours difficile
Lorsque la maladie se déclare, près de la moitié des femmes du territoire Centre-Ouest Île-de-France déclarent qu’il est difficile d’obtenir un rendez-vous avec un oncologue (44%).
Quant à l’accès aux soins dits "de support" qui leur permettent de mieux vivre leur pathologie, plus d’1 femme sur 2 estiment qu’il est difficile d’en bénéficier pour des raisons financières.

Manque d’activité sportive et qualité d’alimentation dépendante des revenus

- Pour plus d’une femme sur 4, l’activité sportive n’est pas une habitude. 27% des femmes n’en font jamais ou en pratiquent moins d’une fois par mois.
Les femmes disposant de hauts revenus sont plus enclines à faire du sport régulièrement : 83% d’entre elles pratiquent un sport au moins 1 fois par mois, contre 73% des femmes, tous revenus confondus*.

Mieux bouger, mieux manger

AÉSIO mutuelle Centre-Ouest, Île-de-France soutient les équipes féminines de football à travers un partenariat avec le FC Rezé et le Paris FC.
Notre volonté ? Encourager les bienfaits de l’activité physique dès le plus jeune âge et initier le public sportif aux bonnes pratiques nutritionnelles au travers d’ateliers pédagogiques et ludiques.

- Si les jeunes sont plus actifs, les moins jeunes ont une alimentation plus saine 
83% des femmes de 15 à 24 ans pratiquent une activité physique au moins 1 fois par mois contre 66% pour les 65 ans et plus*.
38% des femmes trouvent qu’il est difficile de consommer 5 fruits et légumes par jour. Respecter ces quantités journalières est plus facile pour les femmes de 65 ans et plus (72%) que pour les 15-24 ans (58%)*.
Au niveau national, les femmes aux revenus élevés ont plus facilement accès à une alimentation saine. C’est ce que déclarent 70% d’entre elles*.

*Résultats à l’échelle nationale


 

Territoire Grand-Est, Bourgogne, Franche-Comté

Encore trop de femmes renoncent à se faire soigner

  • Plus d'1 femme sur 4 trouve difficile d’accéder aux soins
  • 65% ont déjà dû renoncer à des soins

- Un accès difficile : encore plus en milieu rural
Plus d’1 femme sur 4 en région Grand-Est, Bourgogne, Franche-Comté, juge que les consultations ou les examens médicaux leur sont difficilement accessibles (27%). En zone rurale à l’échelle nationale, elles sont au moins 1 sur 3 à avoir ce sentiment (37%*).

Les femmes rencontrent surtout des difficultés à obtenir un rendez-vous. C’est le cas pour plus de 3 femmes sur 4 (77%) interrogées dans le territoire. Ce sont surtout les femmes de 25 à 34 ans et celles disposant de revenus élevés qui sont particulièrement touchées par ce problème (86% des femmes de 25 à 34 ans et 87% des femmes disposant de revenus élevés*).

- Pour s’informer, les femmes se tournent vers les prescripteurs de santé
83% des femmes font confiance à leur complémentaire santé pour les informer sur leur santé. Une confiance presque aussi forte que celle qu’elles accordent à leur médecin généraliste ou traitant (95%). En revanche, 86% des femmes ne font pas confiance aux informations trouvées sur Internet.

Cancer : toutes concernées, pas assez informées

- Pas assez informées
Si une grande majorité des femmes sont concernées par le cancer, qu’elles ou leurs proches en soient atteints, 31% se sentent pourtant encore mal informées sur les facteurs de risques liés à cette pathologie. Ce manque d’information est plus prononcé chez les femmes de 15 à 24 ans : 43%* d’entre elles se disent mal informées, contre 19% des femmes de 65 ans et plus*.

Agir pour mieux prévenir

Le programme « Nos élus s’engagent contre le cancer » multiplie les actions de prévention sur tout le territoire Grand Est, Bourgogne, Franche-Comté pour lutter contre les cancers qui touchent plus particulièrement les femmes.
Lors de la première édition d’Octobre rose, AÉSIO mutuelle a participé à l’animation des courses et marches roses qui ont eues lieu sur le territoire. Des chargés de prévention sont ainsi allés à la rencontre des femmes pour les sensibiliser sur les facteurs de risque et l’importance du dépistage.

- Dépister le cancer, une question d’âge
Si certaines femmes profitent des dispositifs de dépistage qui leur sont proposés, d’autres ne souhaitent pas y avoir recours. Leurs motivations varient selon leur âge : 58% des femmes de moins de 35 ans estiment qu’elles n’ont pas atteint l’âge requis de se faire dépister, contre 4%* des femmes de 50 et plus*.
1 femme sur 2 de 50 ans ou plus, dit ne pas souhaiter effectuer un dépistage, contre 23% chez les moins de 35 ans*.

Lorsqu’elles souhaitent se faire dépister, les femmes semblent prioriser les cancers féminins : 72% ont l’intention de réaliser un dépistage du cancer du sein dans les 3 prochaines années et 59% un dépistage du cancer du col de l’utérus. Seules 53% d’entre elles prévoient de réaliser un dépistage du cancer colorectal.

- Accéder aux soins, un parcours difficile
Lorsque la maladie se déclare, près de la moitié des femmes du territoire Centre-Ouest Île-de-France déclarent qu’il est difficile d’obtenir un rendez-vous avec un oncologue (44%).
Quant à l’accès aux soins dits "de support" qui leur permettent de mieux vivre leur pathologie, plus d’1 femme sur 2 estiment qu’il est difficile d’en bénéficier pour des raisons financières.

Manque d’activité sportive et qualité d’alimentation : une question de revenus

- Pour plus d’une femme sur 4, l’activité sportive n’est pas une habitude. 29% des femmes n’en font jamais ou en pratiquent moins d’une fois par mois.
Les femmes disposant de hauts revenus sont plus enclines à faire du sport régulièrement : 83% d’entre elles pratiquent un sport au moins 1 fois par mois, contre 73%* des femmes, tous revenus confondus.

- Si les jeunes sont plus actifs, les moins jeunes ont une alimentation plus saine 
83% des femmes de 15 à 24 ans pratiquent une activité physique au moins 1 fois par mois contre 66% pour les 65 ans et plus*.
44% des femmes trouvent qu’il est difficile de consommer 5 fruits et légumes par jour. Respecter ces quantités journalières est plus facile pour les femmes de 65 ans et plus (72%) que pour les 15-24 ans (58%)*.
Au niveau national, les femmes aux revenus élevés ont plus facilement accès à une alimentation saine. C’est ce que déclarent 70%* d’entre elles.

- Bien bouger, bien manger
Pratiquer une activité physique régulière et consommer une alimentation saine et équilibrée participent au vivre mieux. Pour partager les bonnes astuces faciles à suivre au quotidien, AÉSIO mutuelle anime des stands de sensibilisation aux bonnes pratiques et des ateliers ludiques lors de différents événements régionaux. Retrouvez-nous, chaque année, lors de l’Alesia Trail à Alise-Sainte-Reine (21) ou à l’occasion des événements comme La campagne en ville à Audincourt (25).

*Résultats à l’échelle nationale


 

Territoire des Hauts-de-France

Encore trop de femmes renoncent à se faire soigner

  • 1 femme sur 4 trouve difficile d’accéder aux soins
  • 66% ont déjà dû renoncer à des soins

- Un accès difficile : encore plus en milieu rural
Plus d’1 femme sur 4 en région Hauts-de-France juge que les consultations ou les examens médicaux sont difficiles d'accès (26%). En zone rurale à l’échelle nationale, elles sont au moins 1 sur 3 à avoir ce sentiment (37%*).

Les femmes rencontrent surtout des difficultés à obtenir un rendez-vous. C’est le cas pour plus de 3 femmes sur 4 (78%) interrogées dans le territoire. Ce sont surtout les femmes de 25 à 34 ans et celles disposant de revenus élevés qui sont particulièrement touchées par ce problème (86% des femmes de 25 à 34 ans et 87% des femmes disposant de revenus élevés*).

- Pour s’informer, les femmes se tournent vers les prescripteurs de santé
84% des femmes font confiance à leur complémentaire santé pour les informer sur leur santé. Une confiance presque aussi forte que celle qu’elles accordent à leur médecin généraliste ou traitant (92%). En revanche, 54% des femmes ne font pas confiance aux informations trouvées sur Internet.

Cancer : toutes concernées, pas assez informées

- Pas assez informées
Si une grande majorité des femmes sont concernées par le cancer, qu’elles ou leurs proches en soient atteints, 30% se sentent pourtant encore mal informées sur les facteurs de risques liés à cette pathologie. Ce manque d’information est plus prononcé chez les femmes de 15 à 24 ans : 43% d’entre elles se disent mal informées contre 19% des femmes de 65 ans et plus*.

- Dépister le cancer, une question d’âge
Si certaines femmes profitent des dispositifs de dépistage qui leur sont proposés, d’autres ne souhaitent pas y avoir recours. Leurs motivations varient selon leur âge : 58% des femmes de moins de 35 ans estiment qu’elles n’ont pas atteint l’âge requis de se faire dépister, contre 4% des femmes de 50 et plus*. 1 femme sur 2, de 50 ans ou plus, dit ne pas souhaiter effectuer un dépistage, contre 23% chez les moins de 35 ans*.

Lorsqu’il est question d’effectuer un dépistage, les femmes semblent prioriser les cancers féminins :
- 72% ont l’intention de réaliser un dépistage du cancer du sein dans les 3 prochaines années et 58% un dépistage du cancer du col de l’utérus
- seules 44% d’entre elles prévoient de réaliser un dépistage du cancer colorectal. 

- Lutter contre toutes les formes de cancer
AÉSIO mutuelle Hauts-de-France soutient depuis de nombreuses années l’association EMERA qui vient en aide aux personnes atteintes d’un cancer et à leurs aidants. Les acteurs AÉSIO mutuelle du territoire s’impliquent également dans les actions de prévention santé organisées lors des marches et courses roses qui ont lieu chaque année à l’occasion d’Octobre Rose, mois dédié à la lutte contre le cancer du sein.

- Accéder aux soins, un parcours difficile
Lorsque la maladie se déclare, près de la moitié des femmes déclarent qu’il est difficile d’obtenir un rendez-vous avec un oncologue (47%).
Quant à l’accès aux soins dits de support qui leur permettent de mieux vivre leur pathologie, plus d’une femme sur 2 estiment qu’il est difficile d’en bénéficier pour des raisons financières. 

Manque d’activité sportive et qualité d’alimentation dépendante des revenus

Pour plus d’1 femme sur 4, l’activité sportive n’est pas une habitude. 33% des femmes n’en font jamais ou en pratiquent moins d’une fois par mois.
Les femmes disposant de hauts revenus sont plus enclines à faire du sport régulièrement : 83% d’entre elles pratiquent un sport au moins 1 fois par mois contre 73% pour tous les revenus confondus*.

Vivre mieux, bouger plus

AÉSIO mutuelle Hauts-de-France promeut l’importance de pratiquer une activité physique régulière à tout âge en soutenant de nombreux clubs sportifs de proximité. Nous soutenons notamment depuis de nombreuses années le Racing Club de Lens et proposons chaque année des actions solidaires autour de ce partenariat, comme par exemple une journée de sensibilisation à la nutrition pour les enfants supporters.

- Si les jeunes sont plus actifs, les moins jeunes ont une alimentation plus saine : 83% des femmes de 15 à 24 ans pratiquent une activité physique au moins 1 fois par mois contre 66% pour les 65 ans et plus*. 49% des femmes trouvent qu’il est difficile de consommer 5 fruits et légumes par jour. Respecter ces quantités journalières est plus facile pour les femmes de 65 ans et plus (72%) que pour les 15-24 ans (58%)*. 
Au niveau national, les femmes aux revenus élevés ont plus facilement accès à une alimentation saine. C’est ce que déclarent 70% d’entre elles*.


*Résultats à l’échelle nationale. 


 

Territoire Nouvelle-Aquitaine

Encore trop de femmes renoncent à se faire soigner

  • femme sur 3 trouve difficile d’accéder aux soins
  • 60% des femmes ont déjà dû renoncer à des soins

- Un accès difficile : encore plus en milieu rural
Plus d’1 femme sur 3 en région Nouvelle-Aquitaine juge que les consultations ou les examens médicaux sont difficiles d'accès (35%). En zone rurale à l’échelle nationale, elles sont au moins 1 sur 3 à avoir ce sentiment (37%*).

Les femmes rencontrent surtout des difficultés à obtenir un rendez-vous. C’est le cas pour plus de 3 femmes sur 4 (80%) interrogées dans le territoire Nouvelle-Aquitaine. Ce sont surtout les femmes de 25 à 34 ans et celles disposant de revenus élevés qui sont particulièrement touchées par ce problème (86% des femmes de 25 à 34 ans et 87% des femmes disposant de revenus élevés*).

- Pour s’informer, les femmes se tournent vers les prescripteurs de santé
79% des femmes font confiance à leur complémentaire santé pour les informer sur leur santé. Une confiance presque aussi forte que celle qu’elles accordent à leur médecin généraliste ou traitant (94%). En revanche, 59% des femmes ne font pas confiance aux informations trouvées sur Internet.

Cancer : toutes concernées, pas assez informées

- Pas assez informées
Si une grande majorité des femmes sont concernées par le cancer, qu’elles ou leurs proches en soient atteints, 33% se sentent pourtant encore mal informées sur les facteurs de risques liés à cette pathologie.
Ce manque d’information est plus prononcé chez les femmes de 15 à 24 ans : 43% d’entre elles se disent mal informées, contre 19% des femmes de 65 ans et plus*.

Agir pour mieux prévenir

AÉSIO mutuelle Nouvelle-Aquitaine multiplie les partenariats en région pour renforcer les actions de prévention locales. Partenaire des Foulées roses du populaire de Limoges (87), des courses des Demoiselles de Rochefort (17) et du Rallye des Deuch’S, elle participe activement aux actions de prévention organisées à l’occasion d’Octobre rose, mois dédié à la lutte contre le cancer du sein.

- Dépister le cancer, une question d’âge
Si certaines femmes profitent des dispositifs de dépistage qui leur sont proposés, d’autres ne souhaitent pas y avoir recours. Leurs motivations varient selon leur âge : 58% des femmes de moins de 35 ans estiment qu’elles n’ont pas atteint l’âge requis de se faire dépister, contre 4%* des femmes de 50 et plus*.
1 femme sur 2, de 50 ans ou plus, dit ne pas souhaiter effectuer un dépistage, contre 23% chez les moins de 35 ans*.

Lorsqu’elles souhaitent se faire dépister, les femmes semblent prioriser les cancers féminins : 72% ont l’intention de réaliser un dépistage du cancer du sein dans les 3 prochaines années et 57% un dépistage du cancer du col de l’utérus. 55% d’entre elles prévoient de réaliser un dépistage du cancer colorectal, un chiffre plus élevé que dans la plupart des autres régions de France.

- Accéder aux soins, un parcours difficile
Lorsque la maladie se déclare, près de la moitié des femmes du territoire Nouvelle-Aquitaine déclarent qu’il est difficile d’obtenir un rendez-vous avec un oncologue (44%).
Quant à l’accès aux soins dits "de support" qui leur permettent de mieux vivre leur pathologie, plus d’1 femme sur 2 estiment qu’il est difficile d’en bénéficier pour des raisons financières.

Manque d’activité sportive et qualité d’alimentation : une question de revenus

- Pour près d’une femme sur 4, l’activité sportive n’est pas une habitude. 24% des femmes n’en font jamais ou en pratiquent moins d’une fois par mois.
Les femmes disposant de hauts revenus sont plus enclines à faire du sport régulièrement : 83% d’entre elles pratiquent un sport au moins 1 fois par mois contre 73% tous revenus confondus*.

- Vivre mieux, bouger plus
Parce que la pratique d’une activité sportive régulière contribue à préserver une bonne santé, AÉSIO mutuelle Nouvelle-Aquitaine organise des actions de promotion de la santé par le sport lors de différents événements sportifs sur tout le territoire. Chaque année, elle est présente sur le Triathlon de la Rochelle (17) et le Marathon du Médoc (33).

- Si les jeunes sont plus actifs, les moins jeunes ont une alimentation plus saine 
83% des femmes de 15 à 24 ans pratiquent une activité physique au moins 1 fois par mois contre 66% pour les 65 ans et plus*. 40% des femmes trouvent qu’il est difficile de consommer 5 fruits et légumes par jour. Respecter ces quantités journalières est plus facile pour les femmes de 65 ans et plus (72%) que pour les 15-24 ans (58%)*.
Au niveau national, les femmes aux revenus élevés ont plus facilement accès à une alimentation saine. C’est ce que déclarent 70%* d’entre elles.

*Résultats à l’échelle nationale


 

Territoire Occitanie, PACA, Corse

Encore trop de femmes renoncent à se faire soigner

  • femme sur 4 trouve difficile d’accéder aux soins
  • 62% des femmes ont déjà dû renoncer à des soins

- Un accès difficile : encore plus en milieu rural
Plus d'1 femme sur 4 en région Occitanie, PACA, Corse juge que les consultations ou les examens médicaux sont difficiles d'accès (26%). En zone rurale à l’échelle nationale, elles sont au moins 1 sur 3 à avoir ce sentiment (37%*).

- Les femmes rencontrent surtout des difficultés à obtenir un rendez-vous. C’est le cas pour plus de 3 femmes sur 4 (75%) interrogées dans le territoire Occitanie, PACA, Corse. Ce sont surtout les femmes de 25 à 34 ans et celles disposant de revenus élevés qui sont particulièrement touchées par ce problème (86% femmes de 25 à 34 ans et 87% des femmes disposant de revenus élevés*).

- Pour s’informer, les femmes se tournent vers les prescripteurs de santé
86% des femmes font confiance à leur complémentaire santé pour les informer sur leur santé. Une confiance presque aussi forte que celle qu’elles accordent à leur médecin généraliste ou traitant (97%). En revanche, 60% des femmes ne font pas confiance aux informations trouvées sur Internet.

Cancer : toutes concernées, pas assez informées

- Pas assez informées
Si une grande majorité des femmes sont concernées par le cancer, qu’elles ou leurs proches en soient atteints, 27% se sentent pourtant encore mal informées sur les facteurs de risques liés à cette pathologie. Ce manque d’information est plus prononcé chez les femmes de 15 à 24 ans : 43% d’entre elles se disent mal informées, contre 19% des femmes de 65 ans et plus*.

- Agir contre le cancer
Le programme « Nos élus s’engagent contre le cancer » joue un rôle d’accélérateur dans la lutte contre le cancer en soutenant les acteurs locaux sur tout le territoire Occitanie, PACA, Corse. L’objectif : agir sur tous les maillons de la chaîne de la lutte contre le cancer, pour mieux prévenir et accompagner les patients tout au long de leur parcours de soin.

- Dépister le cancer, une question d’âge
Si certaines femmes profitent des dispositifs de dépistage qui leur sont proposés, d’autres ne souhaitent pas y avoir recours. Leurs motivations varient selon leur âge : 58% des femmes de moins de 35 ans estiment qu’elles n’ont pas atteint l’âge requis pour se faire dépister, contre 4% des femmes de 50 et plus*. 1 femme sur 2, de 50 ans ou plus, dit ne pas souhaiter effectuer un dépistage, contre 23% chez les moins de 35 ans*.

Lorsqu’elles souhaitent se faire dépister, les femmes semblent prioriser les cancers féminins :
- 76% ont l’intention de réaliser un dépistage du cancer du sein dans les 3 prochaines années et 61% un dépistage du cancer du col de l’utérus
- 1 femme sur 2 prévoit de réaliser un dépistage du cancer colorectal (50%).

Soutenir la prévention et la recherche

AÉSIO mutuelle Occitanie, PACA, Corse s’engage pour la prévention des cancers au féminin au travers de nombreux événement qui se déroulent chaque année sur son territoire.
Port Camargue (30) a ainsi lancé le top départ de l’édition 2021 du Rallye des Deuch’S. Cet événement itinérant dont AÉSIO mutuelle est partenaire a fait étape à Montauban (82) puis a sillonné la France, avec pour mot d’ordre #Cancer… tous concernés ! AÉSIO mutuelle soutient également la Montpellier Reine, course caritative dont les profits sont reversés à différentes associations de prévention et de recherche contre le cancer du sein.
Plusieurs marches et courses roses ont également été organisées avec le soutien d’AÉSIO mutuelle afin de sensibiliser les femmes à l’importance du dépistage et les informer des facteurs de risques liés au cancer.

- Accéder aux soins, un parcours difficile
Lorsque la maladie se déclare, près de la moitié des femmes déclarent qu’il est difficile d’obtenir un rendez-vous avec un oncologue (40%).
Quant à l’accès aux soins dits "de support" qui leur permettent de mieux vivre leur pathologie, plus d’1 femme sur 2 estime qu’il est difficile d’en bénéficier pour des raisons financières.

Manque d’activité sportive et qualité d’alimentation dépendante des revenus

- Pour plus d’1 femme sur 4, l’activité sportive n’est pas une habitude. 26% des femmes n’en font jamais ou en pratiquent moins d’une fois par mois.
Les femmes disposant de hauts revenus sont plus enclines à faire du sport régulièrement : 83% d’entre elles pratiquent un sport au moins 1 fois par mois, contre 73% tous revenus confondus*.

- Si les jeunes sont plus actifs, les moins jeunes ont une alimentation plus saine : 83% des femmes de 15 à 24 ans pratiquent une activité physique au moins 1 fois par mois contre 66% pour les 65 ans et plus*. 35% des femmes trouvent qu’il est difficile de consommer 5 fruits et légumes par jour. Respecter ces quantités journalières est plus facile pour les femmes de 65 ans et plus (72%) que pour les 15-24 ans (58%)*.
Au niveau national, les femmes aux revenus élevés ont plus facilement accès à une alimentation saine. C’est ce que déclarent 70% d’entre elles*.

- Le sport participe à la lutte contre le cancer
AÉSIO mutuelle Occitanie, PACA, Corse est à l’origine du Raid cycliste de 312 km qui a traversé plusieurs villes du territoire en octobre 2021. L’objectif : promouvoir l’activité physique et sportive et lutter contre le cancer.
À chaque étape du raid, des associations de lutte contre le cancer et les affections de longue durée (ALD) ainsi que des clubs sportifs ont rencontré le public pour les sensibiliser aux facteurs de risque liés au cancer et à l’importance de l’activité physique. 

*Résultats à l’échelle nationale.

 

Agir ensemble

Nos élus Aésio s'engagent contre le cancer

Les élus d’AÉSIO mutuelle ont souhaité agir au sein de chacun de leur territoire pour lutter contre le cancer. Cette mobilisation se concrétise par des actions locales ou régionales, qui se tiendront sur les mois de septembre, octobre et novembre 2021.

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